Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans
J’étais complètement soumis à ma maîtresse, ma femme en fait, l’amour et le bonheur de ma vie. Celle pour qui je ferais n’importe quoi si elle me le demandait. Je suis à sa merci, c’est elle qui dirige, qui me dirige, qui se sert de moi, qui fait ce qu’elle veut de moi et j’adore ça. Ce que j’avais d’abord vécu comme une punition, je le ressens comme une joie certaine, elle m’humilie, m’avilit, me dresse, me domine et je suis complètement accroc.
Hier, j’ai eu droit à la totale, elle s’est bien occupée de moi, s’est servi de cette cravache que j’aime tant. Humm, j’ai adoré ces moments. Elle est rentrée assez tôt, ce soir là. Elle venait de faire du shopping et semblait très excitée. Elle m’a même proposée un défilé, bien sûr elle avait acheté des sous vêtement tous plus affriolant les uns des autres. Je bandais comme un fou, elle s’en ai aperçu et a froncé les sourcils.
Je n’arrivais pas à cacher cette érection, alors elle s’est approchée de moi avec un string fendu et un bustier qui ne cachait rien de sa forte poitrine et s’est mise à danser devant moi, comme si elle voulait m’exciter. Je n’en pouvais plus, je n’avais qu’une envie : me branler et me faire jouir.
Ma femme a alors pris les menottes dans le tiroir et m’a dis d’approcher du lit. Je la regardais presque soulagé. Si elle m’attachait, je n’aurai plus la tentation de me branler. Mes deux mains prisonnières, elle a continué son manège, jusqu’à venir se frotter contre moi. Sentir le tissu et sa peau sur la mienne, j’ai cru que j’allais jouir là comme ça, comme un puceau.
J’ai pu me contenir. Mais je l’ai supplié de venir s’occuper de moi. Elle s’est mise à rire et m’a dit :
-
Tu oses me dire ce que j’ai à faire, petit branleur ?
-
Oh pardon maitresse, mais je ne tiens plus, j’ai trop envie, pitié.
Elle adore lorsque je la supplie, elle en devient sadique. Elle a mis sa petite croupe au dessus de ma tête, sa petite chatte poilue à peine cachée par le string me touchait le nez, si je sortais ma langue je pouvais même goûter la saveur délicieuse. Alors trop excité, incapable de me retenir, je l’ai fait. Ma langue a frotté son sexe à travers le petit bout de tissu. Elle s’est laissé faire un petit moment, puis s’est retirés vivement et s’est mise debout devant moi. Les lèvres pincée, le regard dur, elle a crié :
- Tu t’es permis sans autorisation de ma part, de me lécher. Tu vas me le payer, petite salope.
Et là elle a pris sa cravache, l’a fait claquée trois fois sur le lit, et "aiiiie" sur mon petit cul. J’ai vraiment eu mal, mais trop content qu’elle s’occupe de moi je n’ai rien dit. Parce que pour tout vous dire, avec ma femme nous avons un code, au ça où elle irait trop loin dans ses sévices, si je dis « non » ou que je secoue la tête, c’est que je ne peut supporter ce qu’elle me fait. Après tout, c’est ma femme, et elle m’aime.
Mais là ce soir là, j’étais trop heureux et excité pour l’arrêter et les coups pleuvaient, par cadence de 5 coups, puis une ou deux minutes de pause et encore cinq coup. J’ai eu droit à 5 « exercices » comme elle appelle ça.
J’avais trop mal aux fesses, elles étaient à vif, mon sexe tendu à l’extrême menaçait d’exploser mais j’ai tenu bon. Pour me récompenser, elle a ensuite enfilé le manche de la cravache dans mon petit cul. Hum, c’est vraiment bon, cet instrument de cuir, ni fin ni épais qui entre dans mon derrière dans toute sa longueur je me sens transpercé à chaque fois. Elle fait des vas et viens rythmés et tourne l’engin dans mon cul, j’en deviens fou vraiment. Malheureusement c’est trop court, je jouis du cul trop vite !
Ensuite elle vient se positionner comme précédemment au dessus de moi et écarte son string pour que je lui fourre ma langue dans ses odeurs délicieuses, dans cette chatte humide qui manque de fraîcheur mais qui représente le plus délicat des mets pour mois. Je lèche goulûment, tout et de partout, je la nettoie en profondeur et l’entendre gémir doucement me procure beaucoup de plaisir. Lorsqu’elle a déversé son petit jus accompagné d’un petit pipi libérateur, j’étais le plus heureux des hommes.
Pour finir, elle m’a détaché et a voulu me regarder pendant que je me branlais. Quel honneur, je me suis appliqué et j’étais fier que me maîtresse s’occupe si bien de moi.
Je n’ai eu que des cadeaux ce soir là, je l’ai lavée avant qu’elle ne prenne un repos bien mérité.
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